"J'ai totalement assumé en face de lui car à quoi bon se voiler la face pour faire plaisir à des gens qui n'ont pas les mêmes idées que nous ?"

"Si la bisexualité n'est pas réelle, ne suis-je qu'un mythe"
Qui es-tu ?
Je m'appelle Manon, j'ai 15 ans, bientôt 16, et je suis en première L.
A quel âge as-tu "découvert" ta bisexualité ?
J'ai découvert ma bisexualité il n'y a pas si longtemps. C'était au nouvel an dernier, donc j'avais déjà 15 ans. Je pense que c'est vraiment à ce moment-là que je l'ai découvert même si je me soupçonnais et me questionnais un peu avant déjà. En plus, lorsqu'on est bisexuel, c'est très rarement du 50/50, comme on dit. On a toujours une préférence pour l'un des deux sexes, même si cette préférence est minime. Je pense donc être bisexuelle depuis plusieurs années déjà mais j'ai découvert ma "préférence" pour les femmes depuis cette année.
Je m'appelle Manon, j'ai 15 ans, bientôt 16, et je suis en première L.
A quel âge as-tu "découvert" ta bisexualité ?
J'ai découvert ma bisexualité il n'y a pas si longtemps. C'était au nouvel an dernier, donc j'avais déjà 15 ans. Je pense que c'est vraiment à ce moment-là que je l'ai découvert même si je me soupçonnais et me questionnais un peu avant déjà. En plus, lorsqu'on est bisexuel, c'est très rarement du 50/50, comme on dit. On a toujours une préférence pour l'un des deux sexes, même si cette préférence est minime. Je pense donc être bisexuelle depuis plusieurs années déjà mais j'ai découvert ma "préférence" pour les femmes depuis cette année.
De quelle façon ?
L'été dernier, j'ai déménagé dans une région différente de celle où j'étais avant. Ça signifie donc nouvelle maison, nouvelle ville et, surtout, nouveau lycée. J'ai donc fait ma rentrée dans une classe presque exclusivement de L et j'ai découvert pas mal de clichés sur cette filière qui s'avéraient être vrais. En effet, certains ont des looks ''hors-norme'', comme certaines personnes disent. Mais j'ai aussi découvert que la moitié des personnes présentes dans cette filière étaient soit homosexuelles, soit bisexuelles. Et puis, au mois d'octobre, donc, je me suis énormément rapprochée d'une fille. On discutait tous les jours, on était très proches et très tactiles. J'avais l'impression qu'elle était amoureuse de moi et puis, un jour, elle a dit vouloir me parler en privé. À ce moment-là, je me suis fait pas mal de films sur le sujet de la conversation et me suis mise à me poser une question : si elle me demandait de sortir avec elle, est-ce que je dirais oui ? La réponse a été évidente, bien sûr, j'accepterais. Finalement, elle voulait me parler pour tout autre chose, je ne me souviens même plus de quoi il s'agissait. Pourtant, au fil des semaines, j'ai continué à espérer qu'elle me pose la question fatidique et puis, un jour, je me suis décidée à l'oublier. Ça n'a pas du tout marché, ça a fait tout le contraire, je l'ai aimée encore plus qu'avant. Finalement, je pense qu'en début d'année ça n'était qu'une attirance mais, maintenant, c'est devenu de l'amour pur et dur. Donc je pourrais dire que j'ai découvert ma bisexualité en octobre, mais je ne suis pas certaine que je l'étais pleinement. Je pense donc l'avoir découverte au nouvel an, quand j'ai dormi avec la fille en question.
L'été dernier, j'ai déménagé dans une région différente de celle où j'étais avant. Ça signifie donc nouvelle maison, nouvelle ville et, surtout, nouveau lycée. J'ai donc fait ma rentrée dans une classe presque exclusivement de L et j'ai découvert pas mal de clichés sur cette filière qui s'avéraient être vrais. En effet, certains ont des looks ''hors-norme'', comme certaines personnes disent. Mais j'ai aussi découvert que la moitié des personnes présentes dans cette filière étaient soit homosexuelles, soit bisexuelles. Et puis, au mois d'octobre, donc, je me suis énormément rapprochée d'une fille. On discutait tous les jours, on était très proches et très tactiles. J'avais l'impression qu'elle était amoureuse de moi et puis, un jour, elle a dit vouloir me parler en privé. À ce moment-là, je me suis fait pas mal de films sur le sujet de la conversation et me suis mise à me poser une question : si elle me demandait de sortir avec elle, est-ce que je dirais oui ? La réponse a été évidente, bien sûr, j'accepterais. Finalement, elle voulait me parler pour tout autre chose, je ne me souviens même plus de quoi il s'agissait. Pourtant, au fil des semaines, j'ai continué à espérer qu'elle me pose la question fatidique et puis, un jour, je me suis décidée à l'oublier. Ça n'a pas du tout marché, ça a fait tout le contraire, je l'ai aimée encore plus qu'avant. Finalement, je pense qu'en début d'année ça n'était qu'une attirance mais, maintenant, c'est devenu de l'amour pur et dur. Donc je pourrais dire que j'ai découvert ma bisexualité en octobre, mais je ne suis pas certaine que je l'étais pleinement. Je pense donc l'avoir découverte au nouvel an, quand j'ai dormi avec la fille en question.
Avant tu pensais n'aimer que les hommes ou que les femmes ?
Je pensais n'aimer que les hommes, pour la simple et bonne raison que je n'ai été en couple qu'avec des garçons dans ma vie. Bon, à vrai dire, je n'ai pas eu beaucoup d'aventures au cours de ma vie mais, depuis mon plus jeune âge, je ne suis tombée amoureuse que de garçons avant cette année donc je ne pensais pas aimer les filles.
Est-ce que tu l'assumes pleinement ?
Franchement, oui. Toutes mes amies me disent qu'elles sont étonnées de voir à quel point j'assume tout ça. Je veux dire, beaucoup de monde est au courant et ça ne me dérange pas du tout. Il n'y a pas si longtemps, un garçon de ma classe l'a appris. Ce gars-là, je ne l'aime pas trop et je pense que c'est réciproque. Et puis, il a des idées qui vont pas mal à l'encontre des miennes donc bon, ça n'aide pas vraiment. Il n'empêche qu'il a été mis au courant par je ne sais quelle manière et m'en a parlé en cours d'histoire, comme c'est le seul cours où lui et moi avons des places assez proches l'une de l'autre. En soit, ça ne me dérangeait pas tellement qu'il le sache, mais ce qu'il m'a dit m'a un peu plus gênée. Il avait l'air étonné que je sois bisexuelle et, même s'il n'est pas le premier à l'être, il a été le premier que j'ai vu dégoûté de ça. Je ne pense pas qu'il soit totalement homophobe mais il a quand même paru dégoûté d'apprendre que quelqu'un de sa classe ne soit pas hétéro. Mais, même si ça allait à l'encontre de ses idées, j'ai totalement assumé en face de lui car à quoi bon se voiler la face pour faire plaisir à des gens qui n'ont pas les mêmes idées que nous ?
Je pensais n'aimer que les hommes, pour la simple et bonne raison que je n'ai été en couple qu'avec des garçons dans ma vie. Bon, à vrai dire, je n'ai pas eu beaucoup d'aventures au cours de ma vie mais, depuis mon plus jeune âge, je ne suis tombée amoureuse que de garçons avant cette année donc je ne pensais pas aimer les filles.
Est-ce que tu l'assumes pleinement ?
Franchement, oui. Toutes mes amies me disent qu'elles sont étonnées de voir à quel point j'assume tout ça. Je veux dire, beaucoup de monde est au courant et ça ne me dérange pas du tout. Il n'y a pas si longtemps, un garçon de ma classe l'a appris. Ce gars-là, je ne l'aime pas trop et je pense que c'est réciproque. Et puis, il a des idées qui vont pas mal à l'encontre des miennes donc bon, ça n'aide pas vraiment. Il n'empêche qu'il a été mis au courant par je ne sais quelle manière et m'en a parlé en cours d'histoire, comme c'est le seul cours où lui et moi avons des places assez proches l'une de l'autre. En soit, ça ne me dérangeait pas tellement qu'il le sache, mais ce qu'il m'a dit m'a un peu plus gênée. Il avait l'air étonné que je sois bisexuelle et, même s'il n'est pas le premier à l'être, il a été le premier que j'ai vu dégoûté de ça. Je ne pense pas qu'il soit totalement homophobe mais il a quand même paru dégoûté d'apprendre que quelqu'un de sa classe ne soit pas hétéro. Mais, même si ça allait à l'encontre de ses idées, j'ai totalement assumé en face de lui car à quoi bon se voiler la face pour faire plaisir à des gens qui n'ont pas les mêmes idées que nous ?
Est-ce que tu as fait ton "coming-out" ?
Oui et non, je dirais. En fait, c'est assez compliqué. Au lycée, que ce soit maintenant ou là où j'habitais avant, tous mes amis le savent. Mon frère et ma s½ur sont également au courant depuis quelques temps et mes cousines également. Pourtant, mes parents ne le savent pas. Je ne sais pas si c'est parce que j'ai peur de leur réaction ou non mais je ne les ai pas encore mis au courant, même si j'en parle de plus en plus. Je veux dire, j'aborde beaucoup le sujet des LGBT mais je ne parle jamais de mon cas personnel. Pourtant, j'aimerais bien qu'ils soient au courant, pour faciliter les choses, mais bon, j'ai peur de leur réaction vis-à-vis de ça. Donc oui, j'ai fait mon coming-out auprès de mes amis et une partie de ma famille, mais pas auprès de mes parents et grands-parents.
Oui et non, je dirais. En fait, c'est assez compliqué. Au lycée, que ce soit maintenant ou là où j'habitais avant, tous mes amis le savent. Mon frère et ma s½ur sont également au courant depuis quelques temps et mes cousines également. Pourtant, mes parents ne le savent pas. Je ne sais pas si c'est parce que j'ai peur de leur réaction ou non mais je ne les ai pas encore mis au courant, même si j'en parle de plus en plus. Je veux dire, j'aborde beaucoup le sujet des LGBT mais je ne parle jamais de mon cas personnel. Pourtant, j'aimerais bien qu'ils soient au courant, pour faciliter les choses, mais bon, j'ai peur de leur réaction vis-à-vis de ça. Donc oui, j'ai fait mon coming-out auprès de mes amis et une partie de ma famille, mais pas auprès de mes parents et grands-parents.
Il s'est passé quelque chose au nouvel an avec cette fille ?
Non, pas vraiment, on a juste dormi ensemble finalement. Après, j'ai remarqué pas mal de choses qui n'ont peut-être rien à voir ou alors que j'exagère à cause de mes sentiments, je ne sais pas. En tout cas, on était très proches. Par exemple, le soir, il devait être 1 ou 2 heures du matin (c'est plus trop le soir, du coup) on regardait un film et on était toutes (j'ai fêté le nouvel an entre filles) sur le canapé. Mais le truc c'est que cette fille et moi, on était dans les bras l'une de l'autre, elle avait la tête sur mon épaule et j'avais ma tête sur la sienne. Bon, comme ça, on dirait vraiment un film à l'eau de rose mais à vivre, c'est vraiment génial. Ensuite on a dormi ensemble, dans les bras l'une de l'autre encore, mais il ne s'est rien passé de plus que ça.
Non, pas vraiment, on a juste dormi ensemble finalement. Après, j'ai remarqué pas mal de choses qui n'ont peut-être rien à voir ou alors que j'exagère à cause de mes sentiments, je ne sais pas. En tout cas, on était très proches. Par exemple, le soir, il devait être 1 ou 2 heures du matin (c'est plus trop le soir, du coup) on regardait un film et on était toutes (j'ai fêté le nouvel an entre filles) sur le canapé. Mais le truc c'est que cette fille et moi, on était dans les bras l'une de l'autre, elle avait la tête sur mon épaule et j'avais ma tête sur la sienne. Bon, comme ça, on dirait vraiment un film à l'eau de rose mais à vivre, c'est vraiment génial. Ensuite on a dormi ensemble, dans les bras l'une de l'autre encore, mais il ne s'est rien passé de plus que ça.
Pourquoi tu as peur d'en parler à tes parents, tu penses qu'ils auraient du mal à accepter ta bisexualité ?
Je sais pas trop. Je ne suis pas sûre qu'ils auraient du mal à l'accepter, ils ne sont pas homophobes et semblent plutôt ouverts quant au sujet des LGBTQ+ mais on n'en parle pas trop, en fait. J'aborde quelques fois le sujet pour voir leur réaction vis-à-vis de ça, mais ils changent généralement vite de sujet, donc je ne sais pas trop. Après, je pense avoir peur de leurs questions à ce sujet si je leur dis. Et puis, j'ai l'impression que ce n'est jamais le bon moment pour leur dire. Je ne sais pas vraiment ce qui me bloque mais bon, je n'ai pas tellement l'impression d'avoir peur de leur réaction mais plus de leurs questions.
Je sais pas trop. Je ne suis pas sûre qu'ils auraient du mal à l'accepter, ils ne sont pas homophobes et semblent plutôt ouverts quant au sujet des LGBTQ+ mais on n'en parle pas trop, en fait. J'aborde quelques fois le sujet pour voir leur réaction vis-à-vis de ça, mais ils changent généralement vite de sujet, donc je ne sais pas trop. Après, je pense avoir peur de leurs questions à ce sujet si je leur dis. Et puis, j'ai l'impression que ce n'est jamais le bon moment pour leur dire. Je ne sais pas vraiment ce qui me bloque mais bon, je n'ai pas tellement l'impression d'avoir peur de leur réaction mais plus de leurs questions.
Tu te sens impliquée dans la cause LGBTQ+ ?
Pas autant que je ne le souhaiterais. Je pense que le mieux ça serait d'aller à des prides et vraiment m'impliquer, revendiquer ma sexualité mais, encore une fois, il y a mes parents qui ne sont pas au courant et ça m'empêche de faire pas mal de choses (ou peut être est-ce une excuse que je me donne). Quoi qu'il en soit, j'ai l'impression que je pourrais plus m'investir que je ne le fais déjà.
Pas autant que je ne le souhaiterais. Je pense que le mieux ça serait d'aller à des prides et vraiment m'impliquer, revendiquer ma sexualité mais, encore une fois, il y a mes parents qui ne sont pas au courant et ça m'empêche de faire pas mal de choses (ou peut être est-ce une excuse que je me donne). Quoi qu'il en soit, j'ai l'impression que je pourrais plus m'investir que je ne le fais déjà.
Tu as réussi à parler de ta bisexualité assez naturellement à tes amis ?
Ça dépend quels amis. Ceux que je me suis faits cette année dans mon nouveau lycée, je n'ai pas eu beaucoup de mal à leur dire parce que certains d'entre eux le sont aussi. Je pense que c'est plus facile de parler de son cas à quelqu'un qui est dans le même, ça rassure toujours. Pour ce qui est de mes amis d'où j'habitais avant, ça a été plus dur. En même temps, nous ne nous sommes vus qu'au mois d'octobre (seulement certains) et c'était tout récent pour moi donc j'avais un peu peur. Le problème c'est que je ne leur ai pas dit à ce moment-là et, du coup, j'avais peur de trop attendre pour leur dire, surtout à ma meilleure amie. Je leur ai donc annoncé par SMS. Je ne sais pas si c'est la meilleure des manières mais je ne voulais pas les laisser dans l'ombre plus longtemps donc bon, ça s'est fait comme ça et, finalement, elles étaient toutes contentes.
Ça dépend quels amis. Ceux que je me suis faits cette année dans mon nouveau lycée, je n'ai pas eu beaucoup de mal à leur dire parce que certains d'entre eux le sont aussi. Je pense que c'est plus facile de parler de son cas à quelqu'un qui est dans le même, ça rassure toujours. Pour ce qui est de mes amis d'où j'habitais avant, ça a été plus dur. En même temps, nous ne nous sommes vus qu'au mois d'octobre (seulement certains) et c'était tout récent pour moi donc j'avais un peu peur. Le problème c'est que je ne leur ai pas dit à ce moment-là et, du coup, j'avais peur de trop attendre pour leur dire, surtout à ma meilleure amie. Je leur ai donc annoncé par SMS. Je ne sais pas si c'est la meilleure des manières mais je ne voulais pas les laisser dans l'ombre plus longtemps donc bon, ça s'est fait comme ça et, finalement, elles étaient toutes contentes.
Est-ce que tu as déjà subi des moqueries par rapport à ton orientation sexuelle ?
Heureusement, non ou, du moins, pas encore. Peut-être que ça m'arrivera un jour, peut-être que non. Bien sûr, j'espère que non mais on ne peut pas tout savoir. Comme je l'ai dit plusieurs fois, je suis entourée de certaines personnes dans le même cas que moi, ce qui évite beaucoup plus les moqueries. Donc non, jamais de moqueries et je croise les doigts pour que ça dure.
Heureusement, non ou, du moins, pas encore. Peut-être que ça m'arrivera un jour, peut-être que non. Bien sûr, j'espère que non mais on ne peut pas tout savoir. Comme je l'ai dit plusieurs fois, je suis entourée de certaines personnes dans le même cas que moi, ce qui évite beaucoup plus les moqueries. Donc non, jamais de moqueries et je croise les doigts pour que ça dure.
Quelles questions tu aurais peur que tes parents te posent ?
Justement, je pense que c'est exactement ça le problème : je n'ai aucune idée de ce qu'ils pourraient me demander. C'est sûrement de ça dont j'ai le plus peur, l'inconnu et inattendu. Je pense qu'ils vont avoir une assez bonne réaction mais, pour ce qui est des questions, je ne sais pas du tout à quoi m'attendre.
Justement, je pense que c'est exactement ça le problème : je n'ai aucune idée de ce qu'ils pourraient me demander. C'est sûrement de ça dont j'ai le plus peur, l'inconnu et inattendu. Je pense qu'ils vont avoir une assez bonne réaction mais, pour ce qui est des questions, je ne sais pas du tout à quoi m'attendre.
Tu penses quoi du regard de la société actuelle par rapport aux LGBT ?
Il est très divisé et dissipé mais grandement amélioré. Je pense que le fait que le mariage homosexuel soit accepté dans de plus en plus de pays aide la vision des LGBTQ+ dans la société. Après, je pense aussi que les stars jouent un grand rôle là-dessus parce que, pour pas mal de personnes, leur idole est leur exemple. Donc si leur idole est homo, bi,... ils l'acceptent plus. Après, je trouve que les LGBTQ+ sont plus reconnus et plus acceptés qu'il y a quelques années mais il y a encore un énorme chemin à faire pour que la communauté soit convenablement acceptée.
Il est très divisé et dissipé mais grandement amélioré. Je pense que le fait que le mariage homosexuel soit accepté dans de plus en plus de pays aide la vision des LGBTQ+ dans la société. Après, je pense aussi que les stars jouent un grand rôle là-dessus parce que, pour pas mal de personnes, leur idole est leur exemple. Donc si leur idole est homo, bi,... ils l'acceptent plus. Après, je trouve que les LGBTQ+ sont plus reconnus et plus acceptés qu'il y a quelques années mais il y a encore un énorme chemin à faire pour que la communauté soit convenablement acceptée.
Un dernier mot ?
D'abord pour toi, Flo', je voulais te remercier de m'avoir permis de faire ce témoignage, c'était une super expérience.
Et ensuite, j'aimerais m'adresser à celles et ceux qui liront cet article et vous dire d'assumer votre sexualité, quelle qu'elle soit. Parce que, qu'on soit hétérosexuel, bisexuel, homosexuel, transsexuel ou autre, on est tous des humains avant tout et on vaut tous la même chose. Ce n'est pas parce qu'on est hétérosexuel qu'on est plus normal et ce n'est pas parce qu'on aime des gens du même sexe qu'on est forcément des handicapés mentaux à envoyer tout de suite à l'asile. On a tous le droit au même jugement de la part des uns et des autres. Donc assumez, vous êtes tous fantastiques !
D'abord pour toi, Flo', je voulais te remercier de m'avoir permis de faire ce témoignage, c'était une super expérience.
Et ensuite, j'aimerais m'adresser à celles et ceux qui liront cet article et vous dire d'assumer votre sexualité, quelle qu'elle soit. Parce que, qu'on soit hétérosexuel, bisexuel, homosexuel, transsexuel ou autre, on est tous des humains avant tout et on vaut tous la même chose. Ce n'est pas parce qu'on est hétérosexuel qu'on est plus normal et ce n'est pas parce qu'on aime des gens du même sexe qu'on est forcément des handicapés mentaux à envoyer tout de suite à l'asile. On a tous le droit au même jugement de la part des uns et des autres. Donc assumez, vous êtes tous fantastiques !
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